Les Quatre Messes brèves de J.S. Bach – reporté
Église Saint-Jean-Baptiste 4235 Avenue Henri-Julien, Montréal, QC, CanadaAvec le chœur Saint-Laurent sous la direction de Philippe Bourque
Avec le chœur Saint-Laurent sous la direction de Philippe Bourque
Francis Colpron, flûte, Olivier Brault, violon, Mélisande Corriveau, viole de gambe, Mylène Bélanger, clavecin Au programme : Jaquet de la Guerre, Marais, Huguenet, Philidor et De Boismortie
Avec Marie-Eve Munger, soprano
Les défis du répertoire de la flûte à bec: volet musique ancienne Conférence donnée par le flûtiste Francis Colpron 10h (heure avancée de l’Est - Montréal): en français 11h (heure […]
Les Boréades en collaboration avec la Société pour les arts en milieux de santé (SAMS) présente: Jean de Nivelle et Cadet Roussel Musique et chansons populaires du 16ième siècle et leur descendance québécoise.
Musiciens: Francis Colpron, Femke Bergsma et Marie-Laurence Primeau.
Les Boréades en collaboration avec la Société pour les arts en milieux de santé (SAMS) présente: Jean de Nivelle et Cadet Roussel Musique et chansons populaires du 16ième siècle et leur descendance québécoise.
Musiciens: Francis Colpron, Femke Bergsma et Marie-Laurence Primeau.
Les Boréades en collaboration avec la Société pour les arts en milieux de santé (SAMS) présente: Jean de Nivelle et Cadet Roussel Musique et chansons populaires du 16ième siècle et leur descendance québécoise.
Musiciens: Francis Colpron, Femke Bergsma et Marie-Laurence Primeau.
Nul n’ignore aujourd’hui le génie étonnamment précoce de Mozart. Enfant, il écrit sonates et symphonies, et déjà il est irrésistiblement attiré par l’opéra. Dès que s’en présente l’occasion, il compose des œuvres scéniques, touchant à l’opéra bouffe dans La Finta semplice, au singspiel dans Bastien und Bastienne ainsi qu’à l’opera seria sur des sujets tirés de l’Antiquité, le grand genre par excellence, avec Ascanio in Alba, Lucio Silla ou Mitridate, re di Ponto. Partout, il montre une étonnante connaissance du bel canto et une palette expressive unique, qu’il enrobe dans des orchestrations somptueuses.
On ne connait pas la destination des quatre Messes brèves, ou Messes luthériennes, que Bach compose entre 1737 et 1748 environ. Selon l’usage, elles ne comprennent que le Kyrie et le Gloria, celui-ci divisé en cinq mouvements. Parce que Bach y reprend, les adaptant à la langue latine, des arias et des chœurs de cantates antérieures, certains les ont regardées de haut, oubliant que la monumentale Messe en si est elle aussi un « collage »… Quoi qu’il en soit, voici une occasion en or de découvrir ces œuvres magnifiques trop rarement entendues.
ANNULÉ
La flûte traversière jouit au XVIIIe siècle d’une grande popularité, associée à son caractère intime et sensible. D’aucuns critiquent son manque de justesse et ses inégalités sonores, mais les compositeurs savent habilement tirer partie de ces « défauts »… Sa facture évolue sans cesse cependant, et on la munit de clés vers le milieu du siècle pour augmenter le volume et la clarté de ses notes graves, ce qui lui permettra de mieux tirer son épingle du jeu lorsqu’accompagnée. Les œuvres les plus ambitieuses qui lui sont alors réservées restent sans contredit les six Duos à deux flûtes sans basse de Wilhelm Friedemann Bach, étonnants par leur complexité et leur expression farouche, déjà romantique.
Francis Colpron, soliste - Zéphyr, FLIP Fabrique et Les Violons du Roy Saison Québec Hors série info: Billetterie 418 641-6040 Sans frais à l'extérieur de Québec 1 877 641-6040
Francis Colpron, soliste - Zéphyr, FLIP Fabrique et Les Violons du Roy Saison Québec Hors série info: Billetterie 418 641-6040 Sans frais à l'extérieur de Québec 1 877 641-6040
En plus de sa propre gloire, Louis XIV eut trois passions : les femmes, les bâtiments et la musique. Au cours des quelque vingt-cinq dernières années de son interminable règne, les deux premières pâlirent, l’une à cause de l’esprit de dévotion imposé à la Cour par Mme de Maintenon, son épouse morganatique, l’autre à cause des importantes difficultés économiques qui affligeaient le royaume. La musique, qu’il a étudiée dans sa jeunesse, le réconforte cependant jusqu’à ses derniers jours. Il aime ses musiciens, s’entretient volontiers avec eux et les choisit avec soin : Couperin écrit pour lui ses Concerts royaux, Marais est son violiste préféré et il encourage Élisabeth Jacquet, enfant prodige, dès ses premières compositions…
Les Boréades en collaboration avec la Société pour les arts en milieux de santé (SAMS) présente: Jean de Nivelle et Cadet Roussel Musique et chansons populaires du 16ième siècle et leur descendance québécoise.
Musiciens: Francis Colpron, Femke Bergsma et Marie-Laurence Primeau.
Les Boréades en collaboration avec la Société pour les arts en milieux de santé (SAMS) présente: Jean de Nivelle et Cadet Roussel Musique et chansons populaires du 16ième siècle et leur descendance québécoise.
Musiciens: Francis Colpron, Femke Bergsma et Marie-Laurence Primeau.
Les Boréades en collaboration avec la Société pour les arts en milieux de santé (SAMS) présente: Jean de Nivelle et Cadet Roussel Musique et chansons populaires du 16ième siècle et leur descendance québécoise.
Musiciens: Francis Colpron, Femke Bergsma et Marie-Laurence Primeau.
Colpron directeur musical de la fin de semaine Bach
CAMMAC
Chœur à la fête, Chœur Équi vox
Chœur à la fête, Chœur Équi vox
L’ensemble Les Boréades de Montréal et Les Concerts de la Chapelle s’associent pour créer la cinquième édition de l’Académie de musique ancienne de Saint-Camille.
Un portrait dansé inédit d’une avant-gardiste, d’une claveciniste indépendante et d’une compositrice de génie rattachée à la cour de Louis XIV, Élisabeth-Claude Jacquet de la Guerre. Avec Myriam LeBlanc, soprano, […]
Colpron professeur à la semaine 2
CAMMAC
Colpron directeur musical de la semaine 3
CAMMAC
En plus de sa propre gloire, Louis XIV eut trois passions : les femmes, les bâtiments et la musique. Au cours des quelque vingt-cinq dernières années de son interminable règne, les deux premières pâlirent, l’une à cause de l’esprit de dévotion imposé à la Cour par Mme de Maintenon, son épouse morganatique, l’autre à cause des importantes difficultés économiques qui affligeaient le royaume. La musique, qu’il a étudiée dans sa jeunesse, le réconforte cependant jusqu’à ses derniers jours. Il aime ses musiciens, s’entretient volontiers avec eux et les choisit avec soin : Couperin écrit pour lui ses Concerts royaux, Marais est son violiste préféré et il encourage Élisabeth Jacquet, enfant prodige, dès ses premières compositions…